C’est sur le péché de tes lèvres
Que s’évapore l’aurore qui erre,
Nourrissant la clarté de mon âme
Sur le psaume de tes yeux qui se pâment.
Je m’abandonne sur ta langue,
Nourrissant ma terre sur la foi de ton ciel,
Devenant le joue de l’arc enfantin de l’amour séduis par les saints,
M’entourant de toute ta douceur sur l’exquise de tes notes.
Écoutant le fruit de mes prières
Sur les rîmes profonde de mon cœur,
Je dévore chaque instant sur le chantre de tes bois,
Jouant parmi les étoiles sur l’éclat de ton regard.
Renversant l’âme mortelle sur les nuages brumeux de ton air,
Mes ailes deviennent légère passent les limites de tes cieux
Vers les jardins précieux de tes dieux,
Où coule la douceur des roses sur tes lèvres.
Couvrant mes nuits de ton visage,
Mes paroles ne seront que miel
Sur le fruit fertile de ta fleur,
Abreuvant mes soifs de l’amour.
Volant au temps ses lueurs d’argent
Qui couvre ton corps,
Abandonnant mes nuits sombres,
Sur le vol gracieux de la passion,
Dérobant les pensées délaissées sur ton cœur,
Sur la douce musique des nuits étoilées,
Je me perdrai sous les louanges de ta grâce,
Sur le champ de tes vallées,
A la recherche de l’excellence,
Des réjouissances, de la volupté,
Du bonheur sempiternel
Le long de tes jours, tes nuits.
Sous la douceur d’une lune,
Sous la douceur d’un soleil,
Où j’abandonnerai mon âme
Sur le lit de ton cœur.
L.Deléglise
Que s’évapore l’aurore qui erre,
Nourrissant la clarté de mon âme
Sur le psaume de tes yeux qui se pâment.
Je m’abandonne sur ta langue,
Nourrissant ma terre sur la foi de ton ciel,
Devenant le joue de l’arc enfantin de l’amour séduis par les saints,
M’entourant de toute ta douceur sur l’exquise de tes notes.
Écoutant le fruit de mes prières
Sur les rîmes profonde de mon cœur,
Je dévore chaque instant sur le chantre de tes bois,
Jouant parmi les étoiles sur l’éclat de ton regard.
Renversant l’âme mortelle sur les nuages brumeux de ton air,
Mes ailes deviennent légère passent les limites de tes cieux
Vers les jardins précieux de tes dieux,
Où coule la douceur des roses sur tes lèvres.
Couvrant mes nuits de ton visage,
Mes paroles ne seront que miel
Sur le fruit fertile de ta fleur,
Abreuvant mes soifs de l’amour.
Volant au temps ses lueurs d’argent
Qui couvre ton corps,
Abandonnant mes nuits sombres,
Sur le vol gracieux de la passion,
Dérobant les pensées délaissées sur ton cœur,
Sur la douce musique des nuits étoilées,
Je me perdrai sous les louanges de ta grâce,
Sur le champ de tes vallées,
A la recherche de l’excellence,
Des réjouissances, de la volupté,
Du bonheur sempiternel
Le long de tes jours, tes nuits.
Sous la douceur d’une lune,
Sous la douceur d’un soleil,
Où j’abandonnerai mon âme
Sur le lit de ton cœur.
L.Deléglise